Pas de bon vin sans belle grappe !

Aux termes d'une météo capricieuse, avec 0 mildiou sur feuille et 0 mildiou sur grappe, en 2024, tout est dit. Le vigneron a fait le job.

Ne restait plus qu'à vendanger… et que du beau !

Il y a de la profondeur, et c'est lumineux. La fraîcheur du raisin l'emporte. En bouche, les équilibres acides sont là, c'est velours. La puissance est à la fois contenue et généreuse. C'est la structure sans la brutalité.

Encore une promesse tenue !

Royal sur Coucous.

Conditions climatiques

Pas de bon vin sans belle grappe !

Aux termes d'une météo capricieuse, avec 0 mildiou sur feuille et 0 mildiou sur grappe, en 2024, tout est dit. Le vigneron a fait le job.

Ne restait plus qu'à vendanger… et que du beau !

Dégustation

Il y a de la profondeur, et c'est lumineux. La fraîcheur du raisin l'emporte. En bouche, les équilibres acides sont là, c'est velours. La puissance est à la fois contenue et généreuse. C'est la structure sans la brutalité.

Encore une promesse tenue !

Suggestion

Royal sur Coucous.

2024

Millésime de Vigneron

Le Totem

2023

Va déterminer ta date de vendange !

Certains millésimes se résument à leurs conditions vendanges. Tel est le cas du 2023. Fin août, on a cramé dans le coteau, ... suivi d’un grand coup de froid : l'été était soi-disant terminé, ... mais, surprise, grand coup de chaud à la suite.

Si le choix de la date de vendange est une loterie, en 2023, il ne fallait finalement pas attendre.

Il fallut même attaquer au petit matin, à la fraîche !

En Bourgogne, on savait le Pinot : Noir… C'est pas faux… En 2023, le rouge est noir. En bouche, la puissance est généreuse bien sûr, mais plus encore, c'est le fondu, la souplesse et le salivant qui priment. Les notes de réglisse ne sont pas loin.

Saint Pierre, sur réduction de lie rouge, écrasé de courge.

Conditions climatiques

Va déterminer ta date de vendange !

Certains millésimes se résument à leurs conditions vendanges. Tel est le cas du 2023. Fin août, on a cramé dans le coteau, ... suivi d’un grand coup de froid : l'été était soi-disant terminé, ... mais, surprise, grand coup de chaud à la suite.

Si le choix de la date de vendange est une loterie, en 2023, il ne fallait finalement pas attendre.

Il fallut même attaquer au petit matin, à la fraîche !

Dégustation

En Bourgogne, on savait le Pinot : Noir… C'est pas faux… En 2023, le rouge est noir. En bouche, la puissance est généreuse bien sûr, mais plus encore, c'est le fondu, la souplesse et le salivant qui priment. Les notes de réglisse ne sont pas loin.

Suggestion

Saint Pierre, sur réduction de lie rouge, écrasé de courge.

Les records tombent !
Débourrement rapide, suivi d'un ralentissement végétatif à la suite de l'installation d'un froid nordique, c'est à la faveur de conditions climatiques exceptionnelles à partir de la mi avril que la floraison, puis la véraison se sont emballées.
Dominé par un ensoleillement excédentaire, et des précipitations déficitaires sans que la vigne n'ait jamais connu de stress hydrique, 2022 restera, jusqu'à ce jour, le deuxième été le plus chaud après 2003.
Plus encore, 2022 est l'année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début du XX siècle.
Les records sont là. Singulier et exceptionnel, le millésime 2022 se révélera tout aussi généreux que qualitatif.
Il y a de la médaille dans l’air !

Robe bigarro profonde, le ton est donné. Les arômes claquent. L'attaque est directe. Particulièrement bien servie par des tannins velours, la bouche est tout à la fois gourmande et structurée, et aussi de belle longueur. Il y a du vin et de la garde.

C'est bon maintenant, mais pas que… !

Si la place est définitivement aux viandes rouges, pourquoi se l'interdire en début de repas ?

Conditions climatiques

Les records tombent !
Débourrement rapide, suivi d'un ralentissement végétatif à la suite de l'installation d'un froid nordique, c'est à la faveur de conditions climatiques exceptionnelles à partir de la mi avril que la floraison, puis la véraison se sont emballées.
Dominé par un ensoleillement excédentaire, et des précipitations déficitaires sans que la vigne n'ait jamais connu de stress hydrique, 2022 restera, jusqu'à ce jour, le deuxième été le plus chaud après 2003.
Plus encore, 2022 est l'année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début du XX siècle.
Les records sont là. Singulier et exceptionnel, le millésime 2022 se révélera tout aussi généreux que qualitatif.
Il y a de la médaille dans l’air !

Dégustation

Robe bigarro profonde, le ton est donné. Les arômes claquent. L'attaque est directe. Particulièrement bien servie par des tannins velours, la bouche est tout à la fois gourmande et structurée, et aussi de belle longueur. Il y a du vin et de la garde.

C'est bon maintenant, mais pas que… !

Suggestion

Si la place est définitivement aux viandes rouges, pourquoi se l'interdire en début de repas ?

2022

Une Bombe

Épique

2021

Il est urgent d’attendre !
Dix jours d’été au printemps, suivis de trois épisodes de gel polaire dans les nuits des 6 au 9 avril, la messe était dite. Le potentiel de production a été irrémédiablement gravement impacté.
Cela dit, le retour à des conditions climatiques normales habituelles ont largement profité au Pinot Noir : maturité aboutie, concentration en anthocyanes proche de 2015 et en tannins de 1999 à la vendange…
Mais il y en avait peu !

Entre carmin et rubis, c’est l’éclat qui prédomine. Le fruit s’impose tout de suite. En bouche, la place n’est pas à l’extravagance, mais plus à cette douce expression contenue et distinctive propre au Pinot Noir, cépage emblématique de la Bourgogne.

Ne pas s’en priver,… s’il en reste !

Un panier de noix au coin de la cheminée.

Conditions climatiques

Il est urgent d’attendre !
Dix jours d’été au printemps, suivis de trois épisodes de gel polaire dans les nuits des 6 au 9 avril, la messe était dite. Le potentiel de production a été irrémédiablement gravement impacté.
Cela dit, le retour à des conditions climatiques normales habituelles ont largement profité au Pinot Noir : maturité aboutie, concentration en anthocyanes proche de 2015 et en tannins de 1999 à la vendange…
Mais il y en avait peu !

Dégustation

Entre carmin et rubis, c’est l’éclat qui prédomine. Le fruit s’impose tout de suite. En bouche, la place n’est pas à l’extravagance, mais plus à cette douce expression contenue et distinctive propre au Pinot Noir, cépage emblématique de la Bourgogne.

Ne pas s’en priver,… s’il en reste !

Suggestion

Un panier de noix au coin de la cheminée.

Une fois encore, y a t-il, ou n’y a t-il pas, réchauffement climatique ?
De janvier à septembre, toutes les températures ont été supérieures à la normale, les précipitations moindres et l’insolation excédentaire. C’est l’année la plus chaude depuis le début du siècle.
La contrainte hydrique n’ayant pas été jusqu’au blocage, elle s’est révélée favorable à la synthèse des composés phénoliques constitutifs de la qualité des raisins. Et si la teneur en sucre à la vendange s’est située dans le trio de tête des millésimes, les acidités étaient tout aussi remarquables.
Pas de quoi porter plainte !

La première caresse touche l’œil. C’est doux. Sans avoir goûté, il y a du raisin dans le verre, c’est sur. Ce n’est résolument pas un vin à déguster, mais à boire. La trame est serrée et délicate à la fois, la finesse des tannins fleurte avec la tension au palais. Le potentiel est là.

Maintenant ou demain ?... Mieux : maintenant et demain !

Coulommier bien fait, miche de pain au blé noir un peu brûlée.

Conditions climatiques

Une fois encore, y a t-il, ou n’y a t-il pas, réchauffement climatique ?
De janvier à septembre, toutes les températures ont été supérieures à la normale, les précipitations moindres et l’insolation excédentaire. C’est l’année la plus chaude depuis le début du siècle.
La contrainte hydrique n’ayant pas été jusqu’au blocage, elle s’est révélée favorable à la synthèse des composés phénoliques constitutifs de la qualité des raisins. Et si la teneur en sucre à la vendange s’est située dans le trio de tête des millésimes, les acidités étaient tout aussi remarquables.
Pas de quoi porter plainte !

Dégustation

La première caresse touche l’œil. C’est doux. Sans avoir goûté, il y a du raisin dans le verre, c’est sur. Ce n’est résolument pas un vin à déguster, mais à boire. La trame est serrée et délicate à la fois, la finesse des tannins fleurte avec la tension au palais. Le potentiel est là.

Maintenant ou demain ?... Mieux : maintenant et demain !

Suggestion

Coulommier bien fait, miche de pain au blé noir un peu brûlée.

2020

Parti Pris

Exubérance

2019

Il aura fait chaud, il aura fait soif !
Printemps agréablement doux jusqu’à ce petit coup de frais au tout début de la floraison, pour ensuite laisser la place jusqu’à la récolte, à la chaleur, façon 2003, et à quelques épisodes orageux qui n’auront pas fait de dégâts à la vigne.
Au final, c’est une des maturités les plus abouties jamais observées avec, non seulement, des teneurs en sucres remarquables, mais aussi une harmonie exceptionnelle entre sucres et acidité.
La grosse bouteille, quoi !

On est dans le noir, plus que dans le rouge. Rien au nez ne trahit la puissance alcoolique sérieuse du vin. Whaou ! Instantanément, le vin tapisse la bouche sans jamais l’agresser. Bien que réelle, jamais la puissance ne prédomine. C’est rond, c’est souple, c’est généreux. Encore une légende en 9. Naturellement, à consommer avec modération. Cela dit, une seule envie prédomine : finir la bouteille.

Mais à ce rythme, le stock ne va pas durer !

Hormis les crustacés, tout fonctionne, à condition de partager.

Conditions climatiques

Il aura fait chaud, il aura fait soif !
Printemps agréablement doux jusqu’à ce petit coup de frais au tout début de la floraison, pour ensuite laisser la place jusqu’à la récolte, à la chaleur, façon 2003, et à quelques épisodes orageux qui n’auront pas fait de dégâts à la vigne.
Au final, c’est une des maturités les plus abouties jamais observées avec, non seulement, des teneurs en sucres remarquables, mais aussi une harmonie exceptionnelle entre sucres et acidité.
La grosse bouteille, quoi !

Dégustation

On est dans le noir, plus que dans le rouge. Rien au nez ne trahit la puissance alcoolique sérieuse du vin. Whaou ! Instantanément, le vin tapisse la bouche sans jamais l’agresser. Bien que réelle, jamais la puissance ne prédomine. C’est rond, c’est souple, c’est généreux. Encore une légende en 9. Naturellement, à consommer avec modération. Cela dit, une seule envie prédomine : finir la bouteille.

Mais à ce rythme, le stock ne va pas durer !

Suggestion

Hormis les crustacés, tout fonctionne, à condition de partager.

Démonstration magistrale !
Février, le « Moscou − Paris » a soufflé. Il a fait froid et sec. A cette période, c’est un très bon départ, car la vigne est au repos.
Et puis, progressivement, les températures sont devenues plus clémentes au printemps, pour aboutir à un été anormalement chaud, occasionnellement ponctué d’orages qui se sont révélés fort heureusement inoffensifs, jusqu’à la vendange qui s’est tenue sous une météo particulièrement agréable.
Dynamique climatique « école » pour une réputation de millésime à forte maturité hors pair !

Rouge cardinal. Richelieu en aurait, pour sûr, convenu. Bouchon à peine tiré, « ça pinote » à plein nez. Le vin vibre. Il y a du diamant dans ce millésime. Dans la bouche, tout est en place : la puissance et la finesse, la longueur et la générosité, le toucher de vin.

Et la longévité pour ceux qui sauront attendre, aussi !

Bar grillé, pomme vapeur.

Conditions climatiques

Démonstration magistrale !
Février, le « Moscou − Paris » a soufflé. Il a fait froid et sec. A cette période, c’est un très bon départ, car la vigne est au repos.
Et puis, progressivement, les températures sont devenues plus clémentes au printemps, pour aboutir à un été anormalement chaud, occasionnellement ponctué d’orages qui se sont révélés fort heureusement inoffensifs, jusqu’à la vendange qui s’est tenue sous une météo particulièrement agréable.
Dynamique climatique « école » pour une réputation de millésime à forte maturité hors pair !

Dégustation

Rouge cardinal. Richelieu en aurait, pour sûr, convenu. Bouchon à peine tiré, « ça pinote » à plein nez. Le vin vibre. Il y a du diamant dans ce millésime. Dans la bouche, tout est en place : la puissance et la finesse, la longueur et la générosité, le toucher de vin.

Et la longévité pour ceux qui sauront attendre, aussi !

Suggestion

Bar grillé, pomme vapeur.

2018

Solaire

Bonne étoile

2017

La régularité, ça paye !
Froid et sec en janvier, rien de plus normal. Malgré une petite vague de fraîcheur deuxième quinzaine d’avril, c’est la douceur, puis, à la faveur d’un ensoleillement généreux, des chaleurs au dessus des normales saisonnières qui se sont installées avec un léger déficit hydrique. Sans égaler 2003, 2011 et 2015, 2017 appartient au groupe des millésimes plus chauds et plus secs.
Et, sans égaler 2005, avec des teneurs en sucres de bon niveau, 2017 fait aussi partie des millésimes à forte maturité.
Mais, à la différence de 2016, la vendange aura été généreuse.
Ticket gagnant !

Robe digne des plus grands couturiers, les aromatiques de Pinot s’emballent dans le verre. A la dégustation, une bien élégante tension tannique d'une aimable souplesse. C’est résolument l’équilibre qui prédomine.

Ça tombe bien, il y a ce qu’il faut !

Le veau sous la Mère, et petite macédoine du potager.

Conditions climatiques

La régularité, ça paye !
Froid et sec en janvier, rien de plus normal. Malgré une petite vague de fraîcheur deuxième quinzaine d’avril, c’est la douceur, puis, à la faveur d’un ensoleillement généreux, des chaleurs au dessus des normales saisonnières qui se sont installées avec un léger déficit hydrique. Sans égaler 2003, 2011 et 2015, 2017 appartient au groupe des millésimes plus chauds et plus secs.
Et, sans égaler 2005, avec des teneurs en sucres de bon niveau, 2017 fait aussi partie des millésimes à forte maturité.
Mais, à la différence de 2016, la vendange aura été généreuse.
Ticket gagnant !

Dégustation

Robe digne des plus grands couturiers, les aromatiques de Pinot s’emballent dans le verre. A la dégustation, une bien élégante tension tannique d'une aimable souplesse. C’est résolument l’équilibre qui prédomine.

Ça tombe bien, il y a ce qu’il faut !

Suggestion

Le veau sous la Mère, et petite macédoine du potager.

On est, ici, dans l’aléa climatique !
Après un hiver le plus chaud jamais observé depuis 1900, le premier semestre aura été globalement doux et très humide, si ce n’est le gel des nuits des mardi 26 au jeudi 28 avril qui a fait des dégâts importants.
Et, vu la date de dernière gelée de printemps bel et bien reculée qui tranche avec l’idée du réchauffement climatique, on est, ici aussi, en pleine controverse.
Au final, si le millésime 2016 reste un des millésimes les plus tardifs à la floraison, à la faveur d’une charge modérée et d’une belle arrière saison, il fait, contre toute attente, partie des millésimes à forte maturité.
Sur le podium,… au poteau !

L’éclat rivalise avec le rouge. La finesse des petits fruits rouges constitue une incontournable invitation à la dégustation qui révèle une élégante trame portée par l’onctuosité de tannins de grande souplesse. Pas l’ombre d’un doute, c’est un vin de belle facture.

Il y en a sous la pédale certes, mais en petite quantité !

Ronde de charcuterie du boucher.

Conditions climatiques

On est, ici, dans l’aléa climatique !
Après un hiver le plus chaud jamais observé depuis 1900, le premier semestre aura été globalement doux et très humide, si ce n’est le gel des nuits des mardi 26 au jeudi 28 avril qui a fait des dégâts importants.
Et, vu la date de dernière gelée de printemps bel et bien reculée qui tranche avec l’idée du réchauffement climatique, on est, ici aussi, en pleine controverse.
Au final, si le millésime 2016 reste un des millésimes les plus tardifs à la floraison, à la faveur d’une charge modérée et d’une belle arrière saison, il fait, contre toute attente, partie des millésimes à forte maturité.
Sur le podium,… au poteau !

Dégustation

L’éclat rivalise avec le rouge. La finesse des petits fruits rouges constitue une incontournable invitation à la dégustation qui révèle une élégante trame portée par l’onctuosité de tannins de grande souplesse. Pas l’ombre d’un doute, c’est un vin de belle facture.

Il y en a sous la pédale certes, mais en petite quantité !

Suggestion

Ronde de charcuterie du boucher.

2016

Subtil

Opulence

2015

Chaude, ensoleillée et peu arrosée. Tout est dit !
A la faveur d’un ensoleillement exceptionnel, le nombre de jours qui dépassent les 30° a été multiplié par 2.5 ! Et, si les précipitations ont été aux « abonnés absents », quelques faibles pluies « salvatrices » début août ont très opportunément permis d’enclencher la véraison.
Cerise sur le gâteau, les températures se sont bien rafraîchies en septembre, permettant la réalisation de vendanges exceptionnelles.
Teneurs en sucres parmi les plus importantes, les anthocyanes et les tannins surclassent 1999.
Elle en a dans le sac !

Le sang de la vigne au premier regard, les arômes du Pinot Noir sont à la fête. Ça tombe bien, c’est un véritable festival en bouche. L’approche est directe et franche. Pas l’ombre d’une incertitude, 2015 est singulier et exceptionnel. Le toucher de vin est là. Entre chaleur et rondeur, ça vibre à tous les étages.

C’est l’année de tous les superlatifs !

Une bonne grosse côte de bœuf, écrasé de pomme de terre.

Conditions climatiques

Chaude, ensoleillée et peu arrosée. Tout est dit !
A la faveur d’un ensoleillement exceptionnel, le nombre de jours qui dépassent les 30° a été multiplié par 2.5 ! Et, si les précipitations ont été aux « abonnés absents », quelques faibles pluies « salvatrices » début août ont très opportunément permis d’enclencher la véraison.
Cerise sur le gâteau, les températures se sont bien rafraîchies en septembre, permettant la réalisation de vendanges exceptionnelles.
Teneurs en sucres parmi les plus importantes, les anthocyanes et les tannins surclassent 1999.
Elle en a dans le sac !

Dégustation

Le sang de la vigne au premier regard, les arômes du Pinot Noir sont à la fête. Ça tombe bien, c’est un véritable festival en bouche. L’approche est directe et franche. Pas l’ombre d’une incertitude, 2015 est singulier et exceptionnel. Le toucher de vin est là. Entre chaleur et rondeur, ça vibre à tous les étages.

C’est l’année de tous les superlatifs !

Suggestion

Une bonne grosse côte de bœuf, écrasé de pomme de terre.

Année climatique « yoyo », mais septembre déterminant !
Hiver copieusement arrosé, printemps doux et très sec, été frais et pluvieux, les vendanges se seront déroulées par temps sec, sous des températures plus chaudes que la normale.
Le retour à des conditions anticycloniques à partir du 27 août permettront une bonne évolution de la véraison et de la maturité a un rythme soutenu, avec, au final, une belle surprise : des anthocyanes et des tannins proches de 2012.
Un jour, il fait beau. Un jour, il ne fait pas beau. Un jour, il fait beau une fois sur deux !

Les couleurs sont chatoyantes. Il fait bon humer les effluves langoureuses qui s’échappent à l’ouverture de la bouteille. Gouleyant et friand, il ne manque pas de fondu. C’est suave et ça ne demande qu’à plaire.

Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas !

Pot au feu mijotée façon Grand Mère.

Conditions climatiques

Année climatique « yoyo », mais septembre déterminant !
Hiver copieusement arrosé, printemps doux et très sec, été frais et pluvieux, les vendanges se seront déroulées par temps sec, sous des températures plus chaudes que la normale.
Le retour à des conditions anticycloniques à partir du 27 août permettront une bonne évolution de la véraison et de la maturité a un rythme soutenu, avec, au final, une belle surprise : des anthocyanes et des tannins proches de 2012.
Un jour, il fait beau. Un jour, il ne fait pas beau. Un jour, il fait beau une fois sur deux !

Dégustation

Les couleurs sont chatoyantes. Il fait bon humer les effluves langoureuses qui s’échappent à l’ouverture de la bouteille. Gouleyant et friand, il ne manque pas de fondu. C’est suave et ça ne demande qu’à plaire.

Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas !

Suggestion

Pot au feu mijotée façon Grand Mère.

2014

Pour le plaisir

Vin de soif

2013

Millésime dit froid… et mouillé aussi !
Année excédentaire en précipitations, notamment en avril et mai, hormis l’alternance de périodes de douceur en juillet, août et septembre, c’est la fraîcheur qui prédomine.
Du coup, la floraison fut une des plus tardives observée sur les 20 années précédentes, et en l’absence d’été indien, l’équilibre sucres / acidité optimum n’ a été atteint qu’à la toute fin du mois de septembre.
La solution tenait donc dans la date de vendange, exceptionnellement tardive !

A l’œil, ce n’est pas la profondeur habituelle qui prédomine. Cela dit, poussé par une belle acidité, plus que jamais les arômes claquent, et, si la puissance laisse sa place au gouleyant, bien servi par des vendanges tardives optimum, c’est le palais net et frais qui séduira. La bouteille tombe très vite.

Toujours avec modération bien sûr, mais pourquoi pas une deuxième ?

Poêlée de girolles, fèves au blanc de volaille.

Conditions climatiques

Millésime dit froid… et mouillé aussi !
Année excédentaire en précipitations, notamment en avril et mai, hormis l’alternance de périodes de douceur en juillet, août et septembre, c’est la fraîcheur qui prédomine.
Du coup, la floraison fut une des plus tardives observée sur les 20 années précédentes, et en l’absence d’été indien, l’équilibre sucres / acidité optimum n’ a été atteint qu’à la toute fin du mois de septembre.
La solution tenait donc dans la date de vendange, exceptionnellement tardive !

Dégustation

A l’œil, ce n’est pas la profondeur habituelle qui prédomine. Cela dit, poussé par une belle acidité, plus que jamais les arômes claquent, et, si la puissance laisse sa place au gouleyant, bien servi par des vendanges tardives optimum, c’est le palais net et frais qui séduira. La bouteille tombe très vite.

Toujours avec modération bien sûr, mais pourquoi pas une deuxième ?

Suggestion

Poêlée de girolles, fèves au blanc de volaille.

L’alternance pour finir en beauté !
Si les températures progressent tranquillement au cours de la campagne, avec des alternances de chaud et de froid totalement cadencées jusqu’au mois de septembre beau et chaud, ce fut la même chose pour l’ensoleillement et pour les précipitations. Réglé comme du papier à musique, 2012 va tirer adroitement son épingle du jeu.
Du coup, débourrement précoce suivi d’un ralentissement, floraison tout début juin puis plus chaotique, la véraison retardée par la fraîcheur de la première quinzaine de juillet n’aura pas empêché de finir à la vendange avec des teneurs en sucres et acidité proches de 2010.
Quand on croyait gagner, tout nous échappait. Mais quand tout nous échappait, on a tout gagné !

Rouge profond et dense, les arômes de fruits rouges riches et intenses exaltent. Les tanins murs et soyeux participent à une belle harmonie en bouche. La puissance n’est pas en reste, mais laisse la place entière au terroir à la distinction racée des grands Bourgognes.

Passé une attention de tous les instants, c’est encore septembre qui gagne !

Truite au bleu, pomme grenaille vapeur.

Conditions climatiques

L’alternance pour finir en beauté !
Si les températures progressent tranquillement au cours de la campagne, avec des alternances de chaud et de froid totalement cadencées jusqu’au mois de septembre beau et chaud, ce fut la même chose pour l’ensoleillement et pour les précipitations. Réglé comme du papier à musique, 2012 va tirer adroitement son épingle du jeu.
Du coup, débourrement précoce suivi d’un ralentissement, floraison tout début juin puis plus chaotique, la véraison retardée par la fraîcheur de la première quinzaine de juillet n’aura pas empêché de finir à la vendange avec des teneurs en sucres et acidité proches de 2010.
Quand on croyait gagner, tout nous échappait. Mais quand tout nous échappait, on a tout gagné !

Dégustation

Rouge profond et dense, les arômes de fruits rouges riches et intenses exaltent. Les tanins murs et soyeux participent à une belle harmonie en bouche. La puissance n’est pas en reste, mais laisse la place entière au terroir à la distinction racée des grands Bourgognes.

Passé une attention de tous les instants, c’est encore septembre qui gagne !

Suggestion

Truite au bleu, pomme grenaille vapeur.

2012

Improbable

L'année des abeilles

2011

Quand c’est bien parti, c’est bien arrivé !
A la suite d’un premier semestre plutôt chaud et peu arrosé, juillet et août auront été plus contrastés, l’un avec des températures plutôt fraîches et l’autre avec des précipitations importantes essentiellement sous forme orageuse. Mais, comme souvent, pour ne pas dire comme toujours, septembre s’est imposé : chaud, sec et ensoleillé.
Aussi, à la faveur de conditions estivales tout début avril, les bourgeons ont éclaté et la floraison est passée en quelques jours seulement, puis, les abeilles en furent le témoin, septembre aura fait le reste. Les maturités sont là, les équilibres aussi.
Quand c’est bien arrivé, on est bien servi aussi !

La belle robe d’un rouge très intense, et la pureté aromatique sont une véritable invitation à la dégustation. Attaque en bouche sans détours, il y a autant de verticalité que d’horizontalité. Le fruit parle et la fraîcheur est de mise. La puissance rivalise avec l’élégance.

C’est chaud, comme c’est rond !

Œuf en meurette sur pleurotes et petits lardons.

Conditions climatiques

Quand c’est bien parti, c’est bien arrivé !
A la suite d’un premier semestre plutôt chaud et peu arrosé, juillet et août auront été plus contrastés, l’un avec des températures plutôt fraîches et l’autre avec des précipitations importantes essentiellement sous forme orageuse. Mais, comme souvent, pour ne pas dire comme toujours, septembre s’est imposé : chaud, sec et ensoleillé.
Aussi, à la faveur de conditions estivales tout début avril, les bourgeons ont éclaté et la floraison est passée en quelques jours seulement, puis, les abeilles en furent le témoin, septembre aura fait le reste. Les maturités sont là, les équilibres aussi.
Quand c’est bien arrivé, on est bien servi aussi !

Dégustation

La belle robe d’un rouge très intense, et la pureté aromatique sont une véritable invitation à la dégustation. Attaque en bouche sans détours, il y a autant de verticalité que d’horizontalité. Le fruit parle et la fraîcheur est de mise. La puissance rivalise avec l’élégance.

C’est chaud, comme c’est rond !

Suggestion

Œuf en meurette sur pleurotes et petits lardons.

Du jamais vu !
La rigueur hivernal fut telle que certaines vignes ont même gelé. Bien entendu, les conditions météorologiques sont ensuite revenues à la normale jusqu’à la récolte, permettant de capitaliser une jolie sucrosité.
Retarder astucieusement les vendanges d’une semaine aura aussi permis d’optimiser la maturité phénolique des raisins, grâce, il faut le dire, à un mois d’octobre exceptionnel.
Banco !

Belle profondeur de robe tirant sur la cerise, la pureté aromatique impressionne. Avec ses tanins proches de 2009 et ses anthocyanes supérieurs, il y a beaucoup de finesse et d’élégance, c’est frais et, en même temps ça réchauffe.

Belle revanche sur l’hiver !

Jarret de porc fumant, poireau, carotte, pomme de terre… et moutarde de Dijon.

Conditions climatiques

Du jamais vu !
La rigueur hivernal fut telle que certaines vignes ont même gelé. Bien entendu, les conditions météorologiques sont ensuite revenues à la normale jusqu’à la récolte, permettant de capitaliser une jolie sucrosité.
Retarder astucieusement les vendanges d’une semaine aura aussi permis d’optimiser la maturité phénolique des raisins, grâce, il faut le dire, à un mois d’octobre exceptionnel.
Banco !

Dégustation

Belle profondeur de robe tirant sur la cerise, la pureté aromatique impressionne. Avec ses tanins proches de 2009 et ses anthocyanes supérieurs, il y a beaucoup de finesse et d’élégance, c’est frais et, en même temps ça réchauffe.

Belle revanche sur l’hiver !

Suggestion

Jarret de porc fumant, poireau, carotte, pomme de terre… et moutarde de Dijon.

2010

Pas mal !

Anthologique

2009

La légende des millésimes en 9 !
Pendant tout son cycle végétatif, 2009 aura bénéficié de conditions climatiques idéales qui se sont terminées en apothéose avec de la chaleur et un ensoleillement exceptionnel jusqu’à parfaite maturation : conditions climatiques propices à l’expression de vins d’exception.
Baigné de lumière, 2009 supportera la garde, qui lui conférera une ultime patine.
La légende est confirmée !

Séduisant au premier regard par la profondeur de sa robe luisante, tout aussi flatteurs, les arômes de fruits rouges et noirs bien murs sont exaltés par la présence de notes épicées qui se développent au fur et mesure que le vin s’ouvre. On pourrait en rester là. Que nenni. Le plaisir des sens ne sera complet qu’après avoir goûté cette généreuse ampleur et complexité en bouche.

La longueur n’en finit plus !

Agneau braisé, haricots en fagot.

Conditions climatiques

La légende des millésimes en 9 !
Pendant tout son cycle végétatif, 2009 aura bénéficié de conditions climatiques idéales qui se sont terminées en apothéose avec de la chaleur et un ensoleillement exceptionnel jusqu’à parfaite maturation : conditions climatiques propices à l’expression de vins d’exception.
Baigné de lumière, 2009 supportera la garde, qui lui conférera une ultime patine.
La légende est confirmée !

Dégustation

Séduisant au premier regard par la profondeur de sa robe luisante, tout aussi flatteurs, les arômes de fruits rouges et noirs bien murs sont exaltés par la présence de notes épicées qui se développent au fur et mesure que le vin s’ouvre. On pourrait en rester là. Que nenni. Le plaisir des sens ne sera complet qu’après avoir goûté cette généreuse ampleur et complexité en bouche.

La longueur n’en finit plus !

Suggestion

Agneau braisé, haricots en fagot.

Rester patient !
Après un hiver ensoleillé, doux et sec, la tendance s’inverse jusqu’en mai-juin plutôt agréables, pour dès juillet poursuivre par une relative fraîcheur avec des quantités d’eau importantes.
Ce faisant, si le débourrement fut attendu, il s’est fait rapidement, la floraison fut quelque peu perturbée et la véraison étalée.
Au plus grand soulagement du vigneron, septembre marquera le retour progressif à des conditions anticycloniques permettant de finir une maturation jusque là languissante et d’atteindre les concentrations en sucres habituelles.
Ne jamais baisser les bras !

Au nez, comme à l’œil, c’est la griotte qui scintille. Poussée par une aimable puissance, beau terroir ne saurait mentir, la minéralité légendaire du Pinot Noir en Bourgogne, comme la finesse des tannins, accompagnent gentiment la texture fondue.

Aucune raison d’attendre !

Pot au feu façon maman, compotée de pomme de terre douce.

Conditions climatiques

Rester patient !
Après un hiver ensoleillé, doux et sec, la tendance s’inverse jusqu’en mai-juin plutôt agréables, pour dès juillet poursuivre par une relative fraîcheur avec des quantités d’eau importantes.
Ce faisant, si le débourrement fut attendu, il s’est fait rapidement, la floraison fut quelque peu perturbée et la véraison étalée.
Au plus grand soulagement du vigneron, septembre marquera le retour progressif à des conditions anticycloniques permettant de finir une maturation jusque là languissante et d’atteindre les concentrations en sucres habituelles.
Ne jamais baisser les bras !

Dégustation

Au nez, comme à l’œil, c’est la griotte qui scintille. Poussée par une aimable puissance, beau terroir ne saurait mentir, la minéralité légendaire du Pinot Noir en Bourgogne, comme la finesse des tannins, accompagnent gentiment la texture fondue.

Aucune raison d’attendre !

Suggestion

Pot au feu façon maman, compotée de pomme de terre douce.

2008

Sacré numéro

Inattendu

2007

Un, deux, trois… soleil !
Grande douceur hivernale, le printemps s’inscrit dans la continuité sous le soleil et en plus sec. L’été sera plus mitigé avec des pluies de plus en plus excédentaires.
Ainsi, le débourrement a été à la fois tôt et explosif, tout comme la floraison qui jusque là n’avait jamais été observée si précoce, mais, contrairement à ce que tout cela laissait présager, la véraison s’est fait attendre.
Néanmoins, le retour d’un temps sec et ensoleillé en septembre donnera, au final, des teneurs en sucres supérieures à 2006.
Une belle surprise que ne laissaient pas supposer les pluies d’été !

Si les deux incontournables de la séduction du vin rouge tiennent à son étoffe et son nez charmeur, alors nous y sommes. Faut il encore qu’ils soient suivis par une attaque en bouche franche, et qui tapisse le palais de son onctuosité, comme de son élégance. Nous y sommes toujours.

Ne pas lâcher l’affaire !

Craquant de chocolat noir et gâteau sec.

Conditions climatiques

Un, deux, trois… soleil !
Grande douceur hivernale, le printemps s’inscrit dans la continuité sous le soleil et en plus sec. L’été sera plus mitigé avec des pluies de plus en plus excédentaires.
Ainsi, le débourrement a été à la fois tôt et explosif, tout comme la floraison qui jusque là n’avait jamais été observée si précoce, mais, contrairement à ce que tout cela laissait présager, la véraison s’est fait attendre.
Néanmoins, le retour d’un temps sec et ensoleillé en septembre donnera, au final, des teneurs en sucres supérieures à 2006.
Une belle surprise que ne laissaient pas supposer les pluies d’été !

Dégustation

Si les deux incontournables de la séduction du vin rouge tiennent à son étoffe et son nez charmeur, alors nous y sommes. Faut il encore qu’ils soient suivis par une attaque en bouche franche, et qui tapisse le palais de son onctuosité, comme de son élégance. Nous y sommes toujours.

Ne pas lâcher l’affaire !

Suggestion

Craquant de chocolat noir et gâteau sec.

Tout compte fait !
Si l’hiver joue les prolongations, le printemps finit par s’imposer au-delà des normales saisonnières jusqu’au début de l’été. Mais août sera maussade et frais, les précipitations restants globalement excédentaires.
Ainsi, jusqu’en juillet, la crainte d’une précocité particulière du millésime était palpable, mais le mois d’août, avec sa fraîcheur relative et ses abondantes précipitations, a fait craindre le pire.
Toutefois septembre a repris tous ses droits avec le retour à des conditions météorologiques quasi estivales parachevant une maturité de bonne qualité.
Dans la sacoche !

Ça ne manque pas de couleur, c’est factuel. Dans le verre, les arômes de raisin prennent place et offre une expérience olfactive inédite qui se poursuit agréablement à la dégustation, véritable symphonie entre texture, structure et tannins d’une extrême douceur.

Une affaire à suivre !

Biche sauce grand veneur, parmentier.

Conditions climatiques

Tout compte fait !
Si l’hiver joue les prolongations, le printemps finit par s’imposer au-delà des normales saisonnières jusqu’au début de l’été. Mais août sera maussade et frais, les précipitations restants globalement excédentaires.
Ainsi, jusqu’en juillet, la crainte d’une précocité particulière du millésime était palpable, mais le mois d’août, avec sa fraîcheur relative et ses abondantes précipitations, a fait craindre le pire.
Toutefois septembre a repris tous ses droits avec le retour à des conditions météorologiques quasi estivales parachevant une maturité de bonne qualité.
Dans la sacoche !

Dégustation

Ça ne manque pas de couleur, c’est factuel. Dans le verre, les arômes de raisin prennent place et offre une expérience olfactive inédite qui se poursuit agréablement à la dégustation, véritable symphonie entre texture, structure et tannins d’une extrême douceur.

Une affaire à suivre !

Suggestion

Biche sauce grand veneur, parmentier.

2006

Velours

Sans appel

2005

Ça va le faire !
En dépit d’un léger pic de chaleur et d’ensoleillement pendant toute la floraison, c’est la régularité qui prédomine, à l’exception d’un déficit significatif de précipitation constant.
Au final des conditions à la fois très saines et de semi souffrance de nature à favoriser les meilleures concentrations et maturités.
Si 2002 fut tout à fait exceptionnel et 2003 totalement atypique, 2005 s’affirme en millésime résolument incontournable.
Même pas mal !

Avec l’éclat du rubis, et ses notes entêtantes de petits fruits rouges, c’est encore le fruit, et plus encore sa minéralité, qui dominent à la dégustation. Incisif à la première gorgée, les tannins murs et de grande souplesse chantent, c’est vineux et généreux, et la puissance n’est pas en reste.

Vivaldi dans le verre !

Saignante, À Point ou Bien-Cuite, … place à la Grillade… pommes allumettes.

Conditions climatiques

Ça va le faire !
En dépit d’un léger pic de chaleur et d’ensoleillement pendant toute la floraison, c’est la régularité qui prédomine, à l’exception d’un déficit significatif de précipitation constant.
Au final des conditions à la fois très saines et de semi souffrance de nature à favoriser les meilleures concentrations et maturités.
Si 2002 fut tout à fait exceptionnel et 2003 totalement atypique, 2005 s’affirme en millésime résolument incontournable.
Même pas mal !

Dégustation

Avec l’éclat du rubis, et ses notes entêtantes de petits fruits rouges, c’est encore le fruit, et plus encore sa minéralité, qui dominent à la dégustation. Incisif à la première gorgée, les tannins murs et de grande souplesse chantent, c’est vineux et généreux, et la puissance n’est pas en reste.

Vivaldi dans le verre !

Suggestion

Saignante, À Point ou Bien-Cuite, … place à la Grillade… pommes allumettes.

Caniculaire !
Parole de nos anciens, jamais on a vu cela avant. Durant tout l’été 2003, il a fait chaud, très chaud ; il a fait sec, très sec ; le jour et la nuit sans aucun répit, dedans comme dehors.
Ouf !!!

Est ce que c’est rouge ? Oui. Est ce que les aromatiques sont chaudes ? Oui. Y a t il du vin ? Oui. La dégustation est une expérience unique. Instantanément, la bouche est tapissée par une charge tannique phénoménale, qui, au bout de quelques secondes, fond dans la bouche comme du chocolat. Mozart ! Le raisin taquine les notes de tabac. Inouï ! Faut il parler de la structure ? Même pas ! Y a t il encore une once de fraîcheur ? L’exploit est là : c’est encore, Oui !

L’ovni, quoi ?

Gibier, bien sur.

Conditions climatiques

Caniculaire !
Parole de nos anciens, jamais on a vu cela avant. Durant tout l’été 2003, il a fait chaud, très chaud ; il a fait sec, très sec ; le jour et la nuit sans aucun répit, dedans comme dehors.
Ouf !!!

Dégustation

Est ce que c’est rouge ? Oui. Est ce que les aromatiques sont chaudes ? Oui. Y a t il du vin ? Oui. La dégustation est une expérience unique. Instantanément, la bouche est tapissée par une charge tannique phénoménale, qui, au bout de quelques secondes, fond dans la bouche comme du chocolat. Mozart ! Le raisin taquine les notes de tabac. Inouï ! Faut il parler de la structure ? Même pas ! Y a t il encore une once de fraîcheur ? L’exploit est là : c’est encore, Oui !

L’ovni, quoi ?

Suggestion

Gibier, bien sur.

2003

Une page d'histoire

Plus que du vin

2002

Elle a tout d’une Grande !
Chaleur et ensoleillement pendant la floraison, sécheresse constante et marquée tout l’été, ensoleillement et fraîcheur pour toutes les vendanges.
Conditions climatiques bourguignonnes pour des vins d’exception.
Et en petite foulée, s’il vous plaît !

Rubis sans excès, et olfaction tertiaire empreinte de finesse, nous sommes dans l’univers des grandes bouteilles en Bourgogne. L’attaque en bouche est franche et ciselée, sa jolie puissance se lie sans détours à son équilibre acidité-tanins des plus harmonieux. Le terroir parle.

Passer à coté serait Sacrilège !

Poularde de Bresse, mitonnée du jardin.

Conditions climatiques

Elle a tout d’une Grande !
Chaleur et ensoleillement pendant la floraison, sécheresse constante et marquée tout l’été, ensoleillement et fraîcheur pour toutes les vendanges.
Conditions climatiques bourguignonnes pour des vins d’exception.
Et en petite foulée, s’il vous plaît !

Dégustation

Rubis sans excès, et olfaction tertiaire empreinte de finesse, nous sommes dans l’univers des grandes bouteilles en Bourgogne. L’attaque en bouche est franche et ciselée, sa jolie puissance se lie sans détours à son équilibre acidité-tanins des plus harmonieux. Le terroir parle.

Passer à coté serait Sacrilège !

Suggestion

Poularde de Bresse, mitonnée du jardin.

C’était pas gagné !
En dépit d’un hiver doux et d’un débourrement précoce, les frimas d’Avril ont ralenti le développement végétatif.
Puis, après un mois de Mai bien ensoleillé, la floraison qui se présentait avec une certaine précocité, a été, à son tour, contrariée par un rafraîchissement des températures, avec pour conséquences une hétérogénéité du processus de maturation qui a perduré jusqu’au Vendanges.
Juillet frais et pluvieux, août très ensoleillé et chaud, le rafraîchissement de septembre, et sa relative sécheresse, auront permis une bonne maturation.
Une contrariété finalement contrariée !

Notes fruitées à l’aération, difficile d’ignorer la robe pourpre éclatante. Net en bouche, l’acidité amène une jolie fraîcheur digne d’une belle longévité du fruit, sans exubérance mais bien tout en retenue. On est dans l’univers du Pinot Noir en Bourgogne.

Avis aux Amateurs !

Filet de Rouget Grillés, riz Camargue.

Conditions climatiques

C’était pas gagné !
En dépit d’un hiver doux et d’un débourrement précoce, les frimas d’Avril ont ralenti le développement végétatif.
Puis, après un mois de Mai bien ensoleillé, la floraison qui se présentait avec une certaine précocité, a été, à son tour, contrariée par un rafraîchissement des températures, avec pour conséquences une hétérogénéité du processus de maturation qui a perduré jusqu’au Vendanges.
Juillet frais et pluvieux, août très ensoleillé et chaud, le rafraîchissement de septembre, et sa relative sécheresse, auront permis une bonne maturation.
Une contrariété finalement contrariée !

Dégustation

Notes fruitées à l’aération, difficile d’ignorer la robe pourpre éclatante. Net en bouche, l’acidité amène une jolie fraîcheur digne d’une belle longévité du fruit, sans exubérance mais bien tout en retenue. On est dans l’univers du Pinot Noir en Bourgogne.

Avis aux Amateurs !

Suggestion

Filet de Rouget Grillés, riz Camargue.

2001

Tension

Millénium

2000

Le prochain changement de Millénaire aura lieu dans un peu moins de Mille ans !
Dans l’intervalle, en cette année « 0 », après une période hivernale clémente, hormis la tempête de fin décembre, dès les premiers jours de mars, le débourrement était engagé.
Les températures estivales en mai et juin ont favorisé, dans un premier temps, une très belle floraison précoce, avant que la fraîcheur et les fortes pluies de juillet ne ralentissent la véraison.
Et pour finir, l’arrière-saison étant très favorable avec des températures et un ensoleillement supérieurs aux normales saisonnières, à la vendange, la récolte se présentait sous les meilleurs hospices.
La fin du monde annoncée n’a donc pas eu lieu !

Rubis grenat affirmé pour tenue de soirée, son Nez élégant hésite entre bois et sous-bois. Voilà un millésime qui ravira autant le palais des amateurs de vins à la texture soyeuse, de belle intensité de fruit, et à l’attaque nette en bouche, que les curieux à l’approche d’un Millésime collector.

Émoustillant, non ?

Ronde des fromages, petits pains grillés.

Conditions climatiques

Le prochain changement de Millénaire aura lieu dans un peu moins de Mille ans !
Dans l’intervalle, en cette année « 0 », après une période hivernale clémente, hormis la tempête de fin décembre, dès les premiers jours de mars, le débourrement était engagé.
Les températures estivales en mai et juin ont favorisé, dans un premier temps, une très belle floraison précoce, avant que la fraîcheur et les fortes pluies de juillet ne ralentissent la véraison.
Et pour finir, l’arrière-saison étant très favorable avec des températures et un ensoleillement supérieurs aux normales saisonnières, à la vendange, la récolte se présentait sous les meilleurs hospices.
La fin du monde annoncée n’a donc pas eu lieu !

Dégustation

Rubis grenat affirmé pour tenue de soirée, son Nez élégant hésite entre bois et sous-bois. Voilà un millésime qui ravira autant le palais des amateurs de vins à la texture soyeuse, de belle intensité de fruit, et à l’attaque nette en bouche, que les curieux à l’approche d’un Millésime collector.

Émoustillant, non ?

Suggestion

Ronde des fromages, petits pains grillés.

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